"Copains du monde", un mouvement pour tous les enfants solidaires

Envoyer un mailEnvoyer un mail
Date de l'évènement: 
Mercredi, 2 Juillet, 2014

Mardi 2 juillet (2014), avec l'aide de la commune de Bégard, le Comité de Guingamp du Secours Populaire a fait passer un joyeux après-midi à Armoripark à une vingtaine d'enfants qui ont pu profiter du temps magnifique ce jour-là et ...

...des attractions du lieu. "Merci à la commune et pour l'excellent accueil que nous avons reçu déclare Patricia Ferrari, membre du Comité Départemental du Secours Populaire et responsable de l'aide alimentaire pour Guingamp, qui accompagne les enfants avec d'autres bénévoles. "C'est la quatrième année que nous venons; C'est l'occasion de faire la transition entre la fin de l'école et le début des vacances, ajoute-t-elle et les enfants attendaient impatiemment ce moment".

Et ils n'étaient pas venus seuls les enfants : ils étaient accompagné de leur chenille mascotte – "mais elle n'a pas de nom pour l'instant" nous dit un enfant - dont ils ont rallongé un abdomen mesurant déjà près de 25 mètres, avec les 22 bouteilles plastiques qu'ils avaient emmenées; Une chacun. Si pour Robert Desnos, "une fourmi de dix-huit mètres, avec un chapeau sur la tête … ça n'existe pas…", ce jour-là, à Armoripark, nous avons vu une chenille, sans chapeau certes, mais de plus 25 mètres ! "Il n'y a pas de record en la matière" confie Patricia Ferrari… "Et pourquoi pas !" concluait Robert Desnos à propos de sa fourmi de 18 mètres, avec un chapeau sur la tête !

"Cette chenille, c'est un lien avec le mouvement "Copains du monde" du Secours Populaire explique Patricia Ferrari et notre but sur Guingamp, c'est que les enfants soit acteurs du mouvement, acteurs de la solidarité, comme tous les autres enfants, de tous les horizons". Dans les bouteilles qui servent à allonger leur mascotte, les enfants glissent des dessins, des messages de solidarité, ou tout simplement une affirmation de leurs droits, le droit de jouer, le droit à la santé, le droit d'aller à l'école, de se cultiver, de manger à sa faim… "Notre message, conclut notre interlocutrice, est d'envoyer l'enfant vers la solidarité puis vers l'autonomie".

Partagez cet article