Rentrée scolaire : Débriefing d'une rentrée qui n'a pas été simple…

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Date de l'évènement: 
Jeudi, 29 Octobre, 2015

Mardi 29 septembre (2015), Une fois passées les premières semaines d'école, comme les années précédentes, le maire, Gérard Le Caër, a tenu à rencontrer les directeurs, les enseignants et les représentants des parents d'élèves pour ...

... faire un débriefing de la rentrée, "qui n'a pas été simple cette année. Mais il faut rester positif et compte tenu des effectifs à venir, nous pourrions reconquérir une classe l'an prochain".

En maternelle, Gaëlle Buzulier annonce un effectif de 147 enfants sur cinq classes, dont 55 en bilingue. 30 TPS-PS-GS pour Sylvie Toupin et 25 GS-CP pour Ronan L'Escop. En Monolingue, 31 TPS-PS avec Sophie Le Borgne qui remplace Frédéric Guérin, 32 MS avec Alain Rauzier et 30 MS-GS pour la directrice. "Cinq classes, mais on a conservé six ATSEM, précise le maire. Je regrette que l'Éducation Nationale n'ait pas été à la hauteur, même si on a obtenu une onzième classe en élémentaire". Justement, son directeur, Thierry Lagier, intervient et annonce 259 élèves. "C'est le record de l'école et il a fallu ouvrir une onzième classe. Je dois donc une boite de chocolats, et même plusieurs à la maternelle…". Pour Trézélan, Karine Dodokal compte 81 élèves, dont 20 en TPS-PS-MS, 17 en GS-CP et 16 en CE1-CE2 et 28 en CM1-CM2. "Un gros CM1-CM2", note Gérard Le Caër. Alain Samson, le directeur des services technique rappelle la teneur des travaux qui ont été réalisés pendant la pause estivale: "en temps passé, c'est à peu près le même temps que pour les autres années : 500 heures. Mobilier, réaménagement des salles… création d'une garderie maternelle… En tout, 13.000€ en mobiliers pour Baloré, auxquels s'ajoutent 5.000€ d'équipements pour les travaux en régie… donc, cette année, les travaux dans les écoles, personnels compris, ont coûté environ 30.000€".

"La commune n'est pas une commune qui meurt : 915 élèves sont scolarisés dans le publique, pour 5.000 habitants […] L'école publique est notre priorité, comme la culture et le sport et si demain, on doit dépenser moins, on fera peut-être un peu moins de routes !" ajoute le maire qui conclut : "Quand j'ai entendu l'Inspecteur d'académie dire que  les écoles rurales coûtent cher… J'ai trouvé cela déplacé. C'est un discours de gestionnaire, sans aucune prise sur l'éducation alors qu'il est inspecteur de l'éducation ! On est loin de se soucier de la pédagogie, de l'enseignement et du bien-être des gosses !".

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